Le séminaire doctoral du Centre Max Weber est animé par des doctorant.e.s et pour les doctorant.e.s du laboratoire. Il est un espace d’échanges au sein duquel il est possible de discuter, en toute convivialité, de vos recherches.
Cette année le séminaire consistera à faire intervenir des doctorant.e.s en binôme, pour bénéficier de leurs regards croisés sur des thèmes de recherche. Les organisatrices ont également trouvé intéressant de faire "discuter" les interventions par un.e ou deux doctorant.e.s volontaires. Si certain.e.s d’entre vous ont envie de se former à ce genre d’exercice dans un espace bienveillant comme le séminaire doctoral, n’hésitez pas à en faire la demande.
Intitulé de la dernière séance : « Méthodologie des forums de discussion : comment analyser des témoignages intimes en ligne »
Intervenants : Justine Vincent et Laurine Thizy
La séance se déroulera le jeudi 14 juin 2018 de 18h00 à 20h30 (salle à préciser), sur le site Descartes (15 parvis René Descartes - 69007 Lyon).
Tout.e.s les doctorant.e.s sont évidemment les bienvenu.e.s à ce séminaire doctoral, qui promet d’être riche et vivant. Chaque séance sera suivie d’un buffet convivial, qui sera l’occasion d’échanger entre doctorant.e.s et de passer un bon moment.
Contact :
En savoir plus : résumés des séances en pièce jointe :
La dernière séance du nouvel atelier autour de l’écriture ethnographique à destination des doctorant.e.s du laboratoire est organisée.
Elle aura lieu le jeudi 21 juin 2018, de 14h à 17h30 en salle D4-143 du site Descartes de l’ENS de Lyon (15 parvis René Descartes - 69007 Lyon).
N’hésitez pas à informer les organisatrices de votre venue, qui pourront ainsi vous faire passer les textes sur lesquels vous vous appuierez au cours de la séance, pour que vous puissiez les lire en amont, et vous transmettre la consigne d’écriture pour un exercice d’écriture de 2 pages à rendre au plus tôt.
L’exercice n’est pas obligatoire, mais vous êtes fortement invité.e.s à faire ces lectures et cet exercice : ils participent de la dynamique de l’atelier et vont nourrir les échanges.
Contact :
L’équipe 6 du Centre Max Weber, Modes, espaces et processus de socialisation, convie à la prochaine séance publique de son séminaire 2017-2018.
Ses invités en seront Nicolas Rénahy (directeur de recherche au département sciences sociales de l’INRA et directeur du CESAER) et Ivan Bruneau (maître de conférences en science politique à l’Université Lumière-Lyon 2 et membre de Triangle).
Intitulé de l’intervention : « Mondes ruraux et classes sociales. Une analyse localisée des groupes sociaux »
Leur intervention est issue d’un article dans l’ouvrage suivant : Bruneau I., Laferté G., Mischi J. & Renahy N. (dir.), Mondes ruraux et classes sociales. Une analyse localisée des groupes sociaux, Paris, éditions de l’EHESS, coll. « En temps & lieux », à paraître à l’automne 2018.
Résumé : cette intervention s’appuie sur une enquête principalement menée à Saint-Germain et à Fontenay (commune de 1000 habitants jouxtant le bourg-centre), auprès d’une population composée d’élus et de candidats aux élections municipales (dont certains étaient aussi délégués à la Communauté de communes du Germanois), ainsi que de quelques agents administratifs et responsables associatifs et syndicaux.
Leurs positions sociales sont relativement proches puisque depuis le début des années 1980, les membres des professions libérales et les indépendants se sont progressivement éloignés de la scène politique locale, remplacés par les professions habituellement associées aux classes moyennes et aux fractions inférieures des classes supérieures. On a donc affaire à des individus qui ne pourraient probablement pas prétendre à ces rôles et fonctions s’ils évoluaient dans d’autres configurations sociales, urbaines, marquées par une forte présence des classes supérieures, mais les enquêtés disposent ici de ressources un peu plus importantes que les membres des fractions hautes des classes populaires décrits précédemment.
Pour autant, doit-on en conclure à une totale homogénéité des positions sociales occupées par ceux qui investissent la scène publique locale ?
Répondre à cette question conduit nécessairement à s’inscrire dans les débats récents relatifs aux problèmes posés par la catégorie « classes moyennes », et les auteurs travaillent cette caractérisation des positions occupées en s’appuyant sur l’analyse des situations d’entretien.
La séance se déroulera jeudi 31 mai 2018, de 14h à 16h, sur le Campus Porte des Alpes de l’Université Lumière Lyon 2, en salle H410 du campus Porte des Alpes de l’Université Lumière Lyon 2, bâtiment H (5 Avenue Pierre Mendès France - 69500 Bron).
Contact : Sylvia Faure
L’équipe 1, Travail, institutions, professions et organisations du Centre Max Weber invite à la dernière séance de son séminaire 2017-2018.
Son intervenante en sera Sophie Houdart (directrice de recherche au CNRS, membre du Laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative (Paris Nanterre)).
Intitulé de l’intervention :
« Et soudain baigner
Dans ce qu’on croyait être
une idée.
La culture japonaise au long cours »
Résumé : il s’agira de revisiter des terrains anciens menés au Japon (l’ethnographie d’un laboratoire de biologie ou celle d’une exposition universelle portant sur la redécouverte des sagesses de la nature) à la lumière de celui en cours qui porte sur la vie après la catastrophe de Fukushima. Sans qu’il ait pu être anticipé d’une quelconque façon, le mouvement qui m’a conduite des univers forclos d’un laboratoire ou bien d’une agence d’architecture à la campagne japonaise interroge a posteriori l’usage que j’ai pu faire des termes de culture, de nature.
La séance se déroulera le vendredi 1er juin 2018, de 10h à 13h, en salle André Frossard de l’Institut des sciences de l’homme (14 avenue Berthelot - 69007 Lyon).
Contact : Melvin Salignat
L’équipe 5, Dispositions, pouvoirs, cultures, socialisations du Centre Max Weber, convie à la dernière séance de son séminaire « Travaux en cours ».
Ses intervenants en seront :
La séance aura lieu le lundi 4 juin 2018, de 17h à 19h, en salle D4.143 du site Descartes de l’ENS de Lyon (15 parvis René Descartes - 69007 Lyon). Elle sera suivie d’un apéritif.
Contact : Pierre Mercklé
Le séminaire annuel de la plateforme Éthique de la Recherche de l’Université de Lyon est organisé, en 2018, sur le thème :
« Conflits d’intérêts, conflits de valeurs : enjeux systémiques »
Ces deux journées visent à resituer les tensions que connaît la recherche à leur niveau systémique pour comprendre comment les conflits d’intérêts cristallisent non seulement un problème de déontologie ou d’intégrité scientifique, mais plus radicalement une question éthique et politique grave pour une démocratie.
À travers ce prisme, il s’agit d’interroger la nature même de l’activité scientifique et les conditions de sa légitimité pour réaliser l’idéal d’une science bien ordonnée, à un moment où les décisions à prendre en termes de climat, de thérapie génique, d’alimentation, d’intelligence artificielle ou de régulation financière auront des conséquences graves et irréversibles.
À noter : les sociologues Christine Musselin (Centre de sociologie des organisations, Sciences Po/CNRS) et Yves Gingras (Université de Montréal) interviendront le mercredi 6 juin.
Inscriptions auprès de Florence Belaën : florence.belaen@universite-lyon.fr
Doctorants de l’Université de Lyon : inscription sur Siged/catalogue des formations.
L’événement se déroulera mercredi 6 et jeudi 7 juin dans les locaux de l’Université de Lyon (92 rue Pasteur - 69007 Lyon).
Contact : florence.belaen@universite-lyon.fr
En savoir plus : programme complet sur la page Web dédiée
Le Centre Max Weber et Triangle invitent à la dernière séance du nouveau séminaire scientifique « S’approprier le monde ».
La séance aura pour invitée Sophie Denave (maîtresse de conférences en sociologie à l’Université Lumière-Lyon 2 / Centre Max Weber).
Intitulé de l’intervention : « Le nettoyage de scènes traumatiques en France »
La séance se tiendra le lundi 11 juin 2018, de 9h30 à 12h, en salle H410 du campus Porte des Alpes de l’Université Lumière Lyon 2, bâtiment H (5 Avenue Pierre Mendès France - 69500 Bron).
Contact : Sophie Denave
En savoir plus : argumentaire complet du séminaire en pièce jointe :
Séance initialement prévue le vendredi 8 juin 2018, reportée à la rentrée 2018.
L’équipe 2 du Centre Max Weber, Dynamiques sociales et politiques de la vie privée, organise la dernière séance publique de son séminaire 2017-2018.
Son invité en sera Adriano Favole, anthropologue (Université de Turin).
Intitulé de l’intervention : « Deuils au sein de la famille »
La séance sera reprogrammé à la rentrée 2018.
Contact : Gaëlle Clavandier
CNRS Images présente la série « Mai 68, la science s’affiche ».
Mai 1968 met la société française en ébullition. Dans la communauté scientifique aussi on se met à rêver, à protester et à réinventer ses pratiques : les universités sont bloquées, les hôpitaux se mettent en grève, le Commissariat à l’énergie Atomique de Saclay entre massivement dans la grève, les pratiques psychiatriques sont questionnées, dans les laboratoires, on dénonce les « mandarins » quand d’autres chantent « Connais-tu l’animal qui inventa le calcul intégral ? ».
À travers huit films courts s’esquisse une cartographie des problématiques qui ont secoué les sciences en mai 1968 : le partage des connaissances, l’enseignement, la santé, la recherche, la psychiatrie, le rapport à l’état ou encore les rapports hiérarchiques...
En savoir plus : série disponible en ligne via la page suivante (sommaire en bas de page)
Résumé partiel de l’ouvrage : « Sommes-nous ouvriers ? Oui. Sommes-nous considérés comme tels par la loi ? Non. Possédons-nous le talent des artistes dans toute l’acception du mot ? Oui. Nous accorde-t-on la considération due aux artistes ? Non. Alors nous ne sommes ni ouvriers ni artistes. Que sommes-nous ? ».
Julia Csergo et Frédérique Desbuissons ont rassemblé, dans le cadre d’un programme de recherche international, cuisiniers, artistes, critiques, sociologues, juristes, historiens et historiens de l’art, pour répondre à ces questions soulevées par le grand cuisinier, Philéas Gilbert, au XIXe siècle. Elles les ont notamment mobilisés autour de trois grands problèmes qui agissent tout au long du livre comme trois questions fondamentales : « Qu’est-ce qui fait l’art de la cuisine » ; « Ce qui fait du cuisinier un artiste » ; « Ce que les artistes font de la cuisine ».
En savoir plus : résumé complet et sommaire disponibles sur le site Web de l’éditeur
La sociologie est une science à double niveau, qui articule théorie et matériaux empiriques. En tant que telle, elle a autant besoin de théorie pour construire les données sur lesquelles elle travaille que de données pour borner sa réflexion théorique. Elle est aussi une science nécessairement critique qui rompt avec le sens commun et détruit les illusions sur le monde social. Mais le défi qu’elle doit relever concerne sa capacité actuelle à produire des théories générales malgré les contraintes empiriques, la concurrence entre théories régionales et la division sociale du travail scientifique. Une formule théorique synthétique dans le champ des théories de l’action est présentée en conclusion.
En savoir plus : article disponible en ligne sur CAIRN (accès authentifié)
Résumé général du numéro : depuis 20 ans, les enquêtes Génération visent à éclairer la connaissance sur l’insertion professionnelle des jeunes et aident au pilotage des politiques publiques qui l’accompagnent. Selon les éditions, entre 20 000 et 55 000 jeunes sortis la même année du système scolaire ont été interrogés sur leurs premières années de vie active.
Grâce à ce dispositif, le Céreq peut aujourd’hui rendre compte des permanences et des principaux changements en matière d’accès des jeunes au marché du travail, au terme de deux décennies marquées par l’installation du chômage massif et par un accès toujours plus important à l’enseignement supérieur.
En savoir plus : numéro intégralement disponible en ligne à l’adresse suivante
Cet article questionne l’affirmation selon laquelle l’ESS se caractériserait par des représentations économiques inédites et potentiellement subversives de l’économie dominante. À partir d’une enquête sur le recrutement dans l’ESS à Lyon, il met au jour les représentations mobilisées par les individus recrutant dans ce secteur, concernant les critères de choix d’un(e) bon(ne) candidat(e) ou encore les conditions d’emploi offertes. Il s’interroge enfin sur l’origine de ces représentations.
En savoir plus : sommaire du numéro disponible sur le site Web de l’éditeur
En contrepoint du Corpus de ce numéro consacré aux effets du low cost sur le travail ou les travailleurs et plus largement sur les transformations induites dans l’économie et la société, le comité de la rédaction de la Nouvelle Revue du travail a considéré qu’il était nécessaire de s’intéresser à la consommation low cost.
Ainsi, cette Controverse fait dialoguer plusieurs chercheurs aux approches très différenciées de la consommation et des marchés, après qu’ils aient chacun proposé leur approche du phénomène low cost.
En savoir plus : numéro intégralement disponible en ligne à l’adresse suivante
La revue Tracés a lancé un appel à contributions pour un prochain numéro thématique coordonné par Émilie Guitard, Igor Krtolica, Baptiste Monsaingeon et Mathilde Rossigneux-Méheust.
Intitulé du numéro : « Les irrécupérables »
Argumentaire partiel : « irrécupérable » est un terme qui qualifie ce qui ne peut pas être récupéré et qui donne donc lieu à un processus de disqualification, de relégation ou d’élimination. Le rebut ou l’irrécupérable est alors ce qui résiste à la fois à l’intégration et à l’élimination. Dans la langue française, ces deux termes s’appliquent aussi bien aux choses qu’aux personnes.
Ce numéro de la revue Tracés entend interroger les différentes formes qu’empruntent ces processus d’impossible réintégration. Il propose de questionner la mise en échec de toute dialectique de réhabilitation, de récupération ou de recyclage.
Nous incitons les contributeurs et contributrices à s’emparer de ce terme d’« irrécupérable » à travers quatre axes de réflexion, non exhaustifs ni exclusifs :
Peuvent être proposés des articles, notes, traductions et entretiens (voir modalités de soumission).
Date limite de soumission des intentions : 1er juin 2018.
Date limite de soumission des textes complets : 30 septembre 2018.
Contact : Mathilde Rossigneux-Meheust
En savoir plus : appel complet disponible sur le site Web de la revue
Le « Partenariat pour la recherche » passé entre l’Université Lyon 2 et le Centre Hospitalier Le Vinatier a financé cette année quatre projets de recherche et dispose d’un reliquat pour l’année 2018 de 33 000€.
Aussi, le Conseil Scientifique a décidé de lancer un deuxième appel d’offre pour l’année 2018.
Ce partenariat a pour objet de soutenir financièrement des projets de recherche portés conjointement par un ou des professionnels du Vinatier et un ou des chercheurs de l’Université Lyon 2. L’une des missions du Conseil Scientifique est de lancer un appel à projets et de sélectionner les projets pouvant être financés.
Tout projet faisant le lien entre les sciences humaines et la psychiatrie est recevable.
Les projets présentés peuvent être des projets pluriannuels, d’une durée de 1 à 3 ans.
Si vous souhaitez candidater, vous devez remplir l’un des dossiers joints :
Le dossier doit être envoyé, en format PDF, en un seul fichier à l’adresse mail suivante : lydie.sartelet@ch-le-vinatier.fr.
Contact : Lydie Sartelet
En savoir plus : dossiers A et B de candidature en pièces jointes :
Le Labex COMOD regroupe 5 UMR (CERCRID, IHRIM, LAHRA, LEM, Triangle) et a pour projet d’analyser – dans un esprit résolument interdisciplinaire et en s’appuyant sur les différentes méthodes de l’histoire des idées – ce que l’on pourrait désigner comme la plateforme civique des démocraties européennes.
Le LabEx COMOD lance sa campagne de recrutement pour deux postes de post-doctorants, d’une durée de 12 mois, pour l’année universitaire 2018-2019 (début septembre 2018 à fin août 2019).
Les candidat.e.s devront roposer un projet entrant dans l’un des trois axes thématiques du Labex COMOD :
L’obtention de l’appel à candidature débouchera sur le versement d’un salaire de 2 500€ brut mensuel par mois.
Les candidatures doivent-être envoyées à l’adresse suivante : labexcomod@gmail.com
Date limite : les candidatures devront être transmises avant le 8 juin 2018.
En savoir plus : consulter l’appel à candidatures complet sur la page Web dédiée
L’Institut national de l’audiovisuel (Ina) a ouvert un appel à chercheurs 2018-2019 afin d’encourager le développement de travaux scientifiques menés à partir de ses fonds et des outils d’analyse qu’il développe.
Deux nouveaux dispositifs de soutien à la recherche et à la valorisation scientifique de ses collections ont été créés en 2017 :
Le statut de chercheur associé est ouvert aux chercheurs de toutes disciplines. Les candidats peuvent proposer pour leur Projet de Recherche le sujet original de leur choix dès lors qu’il porte sur :
– l’étude et la valorisation des collections de l’Ina,
– et/ou l’analyse ou le traitement des images et/ou des sons et/ou de données associées en lien avec les projets portés par le Département Recherche et Innovation de l’Ina.
Ce dispositif vise à développer les recherches sur des fonds que l’Ina a identifiés comme étant moins connus du public ou sous-exploités, telles que les collections radio, web, ou encore certains fonds d’archives écrites (voir la liste des thématiques dans le règlement de l’appel à chercheurs).
Les lauréats bénéficient des avantages accordés aux chercheurs associés et d’un soutien financier à la recherche, pendant un an, d’un montant de 5000 €.
Les dossiers de candidatures devront être envoyés jusqu’au 15 juin 2018 sous forme électronique, à l’intention de Mme Géraldine Poels, à l’adresse gpoels@ina.fr.
Contact : gpoels@ina.fr
En savoir plus : consulter la page Web dédiée
La Direction de la Recherche et des Écoles Doctorales de l’Université Lumière Lyon 2 dispose d’un budget pour soutenir l’organisation de manifestations scientifiques d’envergure, récurrentes ou non, susceptibles de recueillir une large audience au sein de la ou des disciplines et/ou thématiques concernées.
Les rencontres de petit format en termes d’effectif et de durée, notamment de type séminaire ou journée d’étude, relèvent de l’activité normale des laboratoires et n’ont pas vocation à entrer dans le cadre de ce dispositif.
La Commission en charge de l’attribution des Subventions pour les Manifestations Scientifiques (SMS) examinera les demandes pour des manifestations scientifiques se réunit à la fin de chaque semestre.
Une durée de moins de 12 mois doit séparer la date de réunion de la Commission et la date prévue pour la manifestation. Si, à la date de réunion de la Commission, la manifestation s’est déjà déroulée, le dossier n’est pas recevable.
À noter : lors de la Commission de mai/juin, si la date de la manifestation est située entre le 1er janvier et le 30 juin de l’année suivante, le porteur devra préciser dans sa demande au titre de quelle année il souhaiterait dépenser la subvention qui pourrait lui être accordée.
Les responsables scientifiques sont invités à bien prendre connaissance des critères d’éligibilité et des critères d’appréciation énumérés au règlement. Les financements sont attribués en fonction du budget disponible et des critères d’examen. Une demande éligible ne garantit pas un financement au titre de ce dispositif.
Les dossiers sont à retourner au format électronique (veronique.dupraz@univ-lyon2.fr et m.berthet@univ-lyon2.fr) au plus tard le lundi 25 juin 2018, minuit.
Cet envoi électronique doit obligatoirement être doublé par un envoi au format papier (Direction de la Recherche et des Écoles Doctorales - Pôle Projets).
Contact : Michaël Berthet
En savoir plus : consulter la page Web dédiée
La Fondation de Wendel propose des aides à la recherche pour des étudiants de Master 2 ou pour des doctorants dans l’ensemble des disciplines des sciences humaines et sociales.
Les aides portent sur les projets concernant les techniques, les entreprises et plus généralement les sociétés industrielles à l’époque contemporaine.
Ces aides sont mises en œuvre par l’Académie François Bourdon.
Pour les étudiants de Master 2, l’aide est fixée à 1 500 euros, limitée à une année.
Pour les étudiants en Doctorat, l’aide est fixée à 5 000 euros par an, au maximum pendant trois années pour une candidature de première année. Les candidats peuvent se présenter pour la seconde ou la troisième année.
Les dossiers de candidature peuvent être envoyés jusqu’au 30 septembre 2018 à l’Académie François Bourdon, avec copie à la Fondation de Wendel exclusivement sous format électronique aux adresses suivantes : afbourdon@wanadoo.fr et contacts@fondationwendel.eu.
Contact : afbourdon@wanadoo.fr
En savoir plus : consulter la page Web dédiée
Appel à candidatures prolongé jusqu’au 31 mai à 12h.
L’Université Lumière Lyon 2 et l’ENSAL, avec l’appui du LabEx Intelligence des Mondes urbains (IMU) et de l’École urbaine de Lyon, le département Langues et Lettres Romanes de l’Université de Liège, le département Médias, culture et communication de l’Université de Liège ainsi que la Faculté d’architecture et d’urbanisme de l’UMONS, organisent l’école d’été :
« Politiques des ambiances urbaines : sons, images et corps »
Cette école d’été se déroulera du 3 au 7 septembre 2018 et rassemblera 20 masterant.es et doctorant.es des institutions partenaires françaises et belges ou d’institutions extérieures, autour d’une recherche pluridisciplinaire portant sur un quartier de la métropole lyonnaise.
Les travaux (conférences, enquêtes de terrain, élaboration de projets) traiteront d’une part, de l’ensemble des phénomènes de ségrégation ou de non-partage, de surveillance ou de contrôle des espaces urbains et, d’autre part, des perceptions et les représentations de la ville et/ou des habitants qu’ils induisent.
Les candidatures sont à déposer via la plateforme ecolelyonville.sciencesconf.org, pour le 31 mai, 12h et seront examinées par les organisateurs de l’école d’été. L’avis sera transmis le 5 juin. En cas de sélection, il sera demandé d’envoyer une image ou un son en lien avec leur intérêt de recherche ou professionnel (matériau produit ou collecté) avant le 20 juillet.
Contact : Clémentine Leroy
En savoir plus : consulter le site Web dédié